Ce dimanche, Salvek nous gratifiait d'un très bon épisode de Fantasy au Petit Dej'. Or, manifestement, La triste histoire des frères Grossbart de Jesse Bullington est tout sauf recommendée pour le temps des croissants. Grossier, scatologique, suintant même, il a semble-t-il fait son petit effet à l'animateur du blog vidéo.

Les frères Grossbart vivent en Allemagne. Pilleurs de tombes de leur état, ils perpétuent une tradition familiale. En route vers l'Egypte et ses tombaux fascinants, ils vont croiser moultes intriguants, et intrigués, personnages.

Je vous invite à écouter Salvek, qui réussit à nous vendre là un petit morceau d'horreur qui sort des productions habituelles.

Les Murmures.

En 140 après J.-C., l’Empire romain s’étend jusqu’à l’actuelle Angleterre. Marcus Aquila, un jeune centurion, est bien décidé à restaurer l’honneur de son père, disparu mystérieusement vingt ans plus tôt avec la Neuvième Légion qu’il commandait dans le nord de l’île. On ne retrouva rien, ni des 5000 hommes, ni de leur emblème, un Aigle d’or. Après ce drame, l’empereur Hadrien ordonna la construction d’un mur pour séparer le nord, aux mains de tribus insoumises, du reste du territoire. Pour les Romains, le mur d’Hadrien devint une frontière, l’extrême limite du monde connu. Apprenant par une rumeur que l’Aigle d’or aurait été vu dans un temple tribal des terres du nord, Marcus décide de s’y rendre avec Esca, son esclave. Mais au-delà du mur d’Hadrien, dans les contrées inconnues et sauvages, difficile de savoir qui est à la merci de l’autre, et de révélations en découvertes, Marcus va devoir affronter les plus redoutables dangers pour avoir une chance de trouver la vérité...

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Ce matin, toute la famille et moi-même, nous sommes partis à Lourdes (je rappelle au cas où que ma compagne travaille comme réceptionniste dans une résidence hôtelière), où nous avions décidé de faire un vide-grenier, avant d'aller pique-niquer.

Bon, je dois vous dire que, malgré le nombre assez conséquent d'exposants, je n'ai rien, mais alors rien trouvé de bien. Jusqu'à l'avant-dernière table (je vous jure que c'est vrai), sur laquelle je vois ceci :

Et surtout ceci :

Et ce fut quand je demandais le prix au petit jeune qui les vendait, que le miracle (je vous rappelle qu'on est à Lourdes) se produisit :

*cliquez ici*     

2€ pour le premier, et 3€ pour le deuxième !

Incroyable !

Et puis, dans l'après-midi, notre balade en vélo nous mena jusqu'à Bagnères où un autre vide-grenier nous attendait. Là, j'ai trouvé, en parfait état, ceci :

Son prix : 0,50€ ! Oui, oui...

Il y a des journées comme ça.

A.C. de Haenne

Autant que faire se peut, et puisque je me suis inscrit dans les trois catégories, j'essaierai d'alterner les plaisirs. Ainsi, pour cette deuxième chronique dans le cadre du défi Steampunk orchestré de main de maître par le Lord (ne voyez-là aucune flagornerie de ma part, il n'y a qu'à voir tout ce qu'il met en place pour ce défi : un site dédié, des vidéos, des cocktails...), je me suis décidé pour un roman que j'ai déjà chroniqué il n'y a pas si longtemps. Cependant, je n'avais pas vraiment pris l'angle steampunk de l'oeuvre. 

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Profitant du dernier jour de la quinzaine des poches à un euro, je suis retourné chez mon cher bouquiniste pour lui prendre ça :

Eh oui, 1€ !

A.C. de Haenne