• La Terre telle que nous la connaissons a disparu lors du « coup de sang », un dérèglement climatique global. Peu après, les quelques survivants épars sont en quête d'Edens, des zones hypothétiquement épargnées, et d'eau potable, extrêmement rare...

     

    Ondes sonores


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  • 1938

    Poussés par des raisons aussi différentes qu’essentielles, Eddy, Charles et Sergio décident de cambrioler l’immense manoir qui domine la ville. Surpris par le majordome, leur entreprise dérape. Le sang coule. Nos trois assassins de fortune fuient butin dans la poche et sang sur les mains. Durant trois semaines, des sanglots fantastiques déchirent les toits de la ville. Au cœur de la grande cité bouffée par la violence et la prohibition, nos trois gangsters débutants gravissent les échelons du crime. Mais dans les ténèbres de la mégalopole, une ombre vengeresse et meurtrière se met en chasse...

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  • Bonjour à toutes et à tous. Même si ça n'a absolument rien à voir avec la littérature et le cinéma de genre, je tenais tout de même à partager ce moment de bonheur avec vous : j'ai enfin acheté ma maison.

    La voici :

    Ondes sonores

    Ondes sonores

    Bien sûr, il y a pas mal de travail et je risque donc d'être (un peu) moins présent sur le Blog. Heureusement, Les Murmures sera là pour nous faire part de ses trouvailles culturelles. Bon, je ne pourrais jamais m'éloigner trop quand même...

    A.C. de Haenne


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  • La vie de Ian Curtis, leader du groupe mythique de rock anglais Joy Division. Tiraillé entre sa vie de famille, sa gloire naissante et son amour pour une autre femme, Ian Curtis s'est suicidé le 18 mai 1980, à la veille de la première tournée américaine du groupe qui s'annonçait triomphale. Ian Curtis a changé le rock, sans le vouloir, sans le savoir...

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  • Me voilà donc pour vous offrir la fin de cette passionnante interview...


    Ondes sonoresA.C. de Haenne : Quel est ton plus beau souvenir lors d'une interview ?

     

    Raoul Abdaloff : Mélanie Fazi, sans doute, qui me regarde d’un oeil inquiet quand je commence par “Mélanie Fazi bonjour, vous êtes une femme et c’est bien”.

     

    A.C. : Et le pire ?

     

    R.A. : Le même.

     

    A.C. : As-tu eu des propositions de la part d'une radio nationale pour faire la même émission, ou une qui lui ressemble ?

     

    R.A. : Ah ah ah.

     

    A.C. : Qu'apprécies-tu dans le médium radiophonique ?

     

    R.A. : L’absence d’images. Le temps. Mais en fait, c’est un leurre. LaOndes sonores radio est aussi formatée que la télé. FPP va à contre-courant. Cette radio n’est pas commerciale et n’a pas de contraintes budgétaires (autres que survivre, années après années). On fonctionne sans publicité. La liberté est totale. Quel autre média peut se permettre d’offrir ça à l’heure actuelle ? On mesure mal à quel point les radios associatives sont utiles, de ce point de vue-là. Bordéliques, sans doute, médiocres en qualité sonore etc etc., mais libres. Et ça fait pas mal de différences.

     

    Ondes sonoresA.C. : Peux-tu nous donner un aperçu des conditions d'enregistrement de l'émission ?

     

    R.A. : Catastrophiques. Une table de mixage, trois ou quatre micros, un ordinateur, un iPod, le tout sur une table basse dans un minuscule bar à vin du 12ème arrondissement, à Paris, tous les mardi. Parfois, c’est miraculeux. Parfois, il n’y a personne. Parfois, il y a du monde, mais personne n’est venu pour l’émission et tout le monde s’en fout.

    Ondes sonores

     

    A.C. : As-tu un ou plusieurs scoop pour les lecteurs du Blog de A.C. de Hænne ?

     

    R.A. : Peu, très peu. Un truc sur Baroin, mais c’est trop énorme, ça peut nous péter à la gueule à tout moment. Rapport à ses cheveux. Non, n’insiste pas.

     

    A.C. : Avant de te laisser le mot de la fin, j'ai uneOndes sonores dernière question à te poser, Raoul : qu'est-ce que Jean-Paul Chevénement t'a fait ?

     

    R.A. : Jean-Didier Chevènement est mort. Et il a ressuscité. On en parlera encore dans deux mille ans. J’essaie d’être à l’avant-garde.

     

    A.C. : Et le mot de la fin est pour toi :

     

    R.A. : Indignez-vous. Non, je déconne. Retournez bosser.

     

    Je ne sais pas pour vous, mais moi j'ai beaucoup ri. Malheureusement, toutes les bonnes choses ont une fin. Cependant, ne soyez pas triste car vous pouvez toujours retrouver le grand, que dis-je, l'immense Raoul Abdaloff (ainsi que la famille Abdaloff au grand complet) en écoutant toutes les semaines l'excellente émission Salle 101. Et n'hésitez surtout pas à répondre au sondage, histoire de montrer à Raoul qu'on est nombreux à l'écouter religieusement professer ses... imbécilités ?

    A.C. de Haenne 

     

    P.S. : " - Camarade officier ! cria-t-il. Vous n'allez pas me conduire là ? Est-ce que je ne vous ai pas déjà tout dit ? Que voulez-vous savoir d'autre ? Il n'y a rien que je ne veuille vous confesser, rien ! Dites-moi seulement ce que vous voulez, je le confesserai tout de suite ! Ecrivez-le et je signerai n'importe quoi ! Pas la salle 101 !

    - Salle 101, répéta l'officier." 1984, George Orwell.


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