Où l'on parle de littérature et de cinéma en toute convivialité...
Grâce à l'ami Solon, Rêve de Fantasy a invité un tout jeune auteur de Fantasy à venir nous parler de son parcours, à nous les novices de l'écriture. Il s'agit d'un auteur accessible et charmant... à la fois objectif sur son parcours et heureux de faire partager le bonheur de son succès en toute humilité. Je veux parler de Paul Beorn, et je pense qu'on n'a pas fini d'en entendre parler...
Après un honteux plagiat de Bilbo le Hobbit, qu'il commence à rédiger à l'âge de sept ans, le tout jeune Paul Beorn contracte cette grave maladie qui s'appelle Écriture. Depuis ce jour béni, elle ne le lâche plus !
Bien des années plus tard, il a déjà tenté quelques essais en littérature blanche. Ses romans ne rencontrent pas d'éditeurs, tandis que certaines de ses nouvelles sont acceptées pour des anthologies ou des revues.
Et puis, voici cinq ou six ans, en lisant La Tour Sombre, de Stephen King (un cadeau d'un ami), il se découvre une passion pour la Fantasy. Il se lance alors dans la rédaction du premier roman de la Pucelle de Diable-Vert. Une fois fini, il n'envoie celui-ci qu'à une seule maison d'édition. Dix-huit mois plus tard (!), Mnémos accepte de le publier.
Le livre est donc sorti dans toutes les bonnes librairies ce jeudi 9 septembre. J'y vais demain, en espérant tomber sur l'une d'entre elles.
Comme vous pouvez l'imaginer, je suis vraiment très impatient de découvrir ce livre qui a l'air formidable. Et j'ai aussi hâte de le lire afin de pouvoir vous en parler avec plus de précisions.
En attendant, vous pouvez aller faire un petit tour sur le blog de Paul Beorn : Le blog de tonton Beorn. Ou bien encore aller vous faire une idée plus précise du livre en allant visiter la fiche du roman sur le site de Mnémos.
À très bientôt, donc, Monsieur Beorn...
A.C. de Hænne
P.S. : merci Foenidis pour ton conseil comme toujours avisé !
Depuis la rédaction de cet article, Paul a eu la gentillesse de répondre à quelques-unes de mes questions. C'est par ici, ici aussi, et là que ça se passe...