A l'origine, Diamond Dogs devait être l'adaptation musicale de 1984 de George Orwell. Malheureusement, les héritiers de l'auteur en ont décidé autrement. Seulement voilà, personne n'est dupe, et le caméléon nous livre ici un album acide et désabusé dont il a le secret.

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Ce soir est un grand soir. Nous inaugurons en effet une nouvelle rubrique toute destinée à accueillir la crème de la musique Mauvais Genre. Parce que oui, elle existe !

D’articles en articles, d’expositions en critiques, je vous présenterais autant d’artistes, de courants musicaux, de Bandes Originales de films, que possible.

La musique est un support d’expression des sentiments. Tantôt agressive, tantôt stridente, parfois envoutante, elle offre une gamme de sentiments des plus riches.

Dans le désordre en termes de parutions et de qualités, je vous parlerai de Klaus Nomi, de Klaus Schultz, de Kraftwerk et David Bowie mais aussi de Joy Division et de l’Iguane Iggy. J’évoquerai les irlandais Freaks de Virgin Prunes et les saintes Tétines Noires. Il faudra faire une place de choix au cabaret des Dresden Dolls et au souffre de Jad Wio. Et, bien évidemment, j’en oublie.