• Chers amis lecteurs des Murmures d'A.C. de Haenne, vous avez peut-être pu constater mon absence aussi prolongée qu'involontaire. En effet, des petits soucis d'ordinateur portable m'éloignent de vous, et vous pouvez croire que cela m'afflige. C'est pour cette raison que je vous écris ce petit billet, histoire de vous tenir au courant. En tout cas, je sais que vous êtes entre de bonnes mains car Les Murmures est là pour faire tourner la baraque. J'espère pouvoir faire rapidement réparer l'ordinateur, et vous retrouver le plus vite possible. J'ai plein d'articles en attente, notamment pour le défi.

    Chers lecteurs, à très bientôt !

    A.C. de Haenne

    (désolé Arnaud de ne pas avoir pu te contacter pour te le dire...)


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  • « Si tu luttes contre des monstres, prends garde à ne pas devenir un monstre toi même... Et si tu plonges ton regard dans l'abîme, songe que l'abîme aussi ancre son regard en toi... », Friedrich W. Nietzsche.

    Manipulation génétique, espionnage, capitalisme sauvage. Quand la science n'appartient plus aux scientifiques mais aux grands groupes financiers.

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  • 1887, Saint-Pétersbourg. Jeune compositeur, Stepan réjouit par sa musique l'esprit du tsar. Mais tant de succès dérange. Alors, le jeune homme est accusé de complot contre le pouvoir. En Russie, il n'y a pas de place pour les traîtres. Stepan doit quitter ses terres d'Ukraine qu'il chérit tant : le sombre domaine de Terre-Noire ; et abandonner sa seule alliée, Natalia. Très vite, son exil prend la couleur de la haine...

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  • L’autopsie de Sadako révèle qu’elle est restée près de trente ans vivante, murée dans son puits. Ni la découverte de son cadavre, ni la destruction de la cassette vidéo maudite sur laquelle son image apparaissait ne semblent en mesure de stopper sa soif de vengeance. Désormais, le petit Yoichi, ayant survécu à la vision maléfique, est le seul à pouvoir lutter contre Sadako. En se voyant doté de pouvoirs psychiques, il est tombé dans un mutisme radical. Pour remédier à cela, une mathématicienne va tenter de chasser ses démons.

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  • Mes Utopiales 2011Jeudi 10 novembre, aux alentours de midi. Nantes nous accueille avec un temps maussade. Rien de bien méchant, à peine quelques gouttes. Mes lointaines années nantaises m'avaient laissé des souvenirs d'automnes beaucoup plus pluvieux. Loin de moi l'idée de m'en plaindre, mais ça fait quand même tout bizarre. Nous nous garons non loin de l’Éléphant, car il est hors de question de passer par Nantes sans aller le saluer. On mange au Café de la Branche, tout près des Nefs où le pachyderme géant est en train d'hiberner. Après le déjeuner, nous nous rendons à la Cité des Congrès qui, en ce premier vrai jour de festival, semble déserte. Seule l'affiche géante sur le fronton au dessus de l'entrée signale que nous ne nous sommes pas trompés de date (j'avoue qu'un léger vent de panique a, l'espace d'un court instant, soufflé sur ma nuque...). 

    14h00 : l'achat des tickets d'entrée se fait sans encombre. Il n'y a personne. Ça faitMes Utopiales 2011 bizarre. Un rapide coup d'oeil sur le programme ne fait que confirmer mes craintes : les choses sérieuses ne commencent vraiment que le lendemain. Tant pis car le jeudi était le seul jour que je pouvais caser dans mon programme ultra-chargé de nos courtes vacances. Après le drôle d'été que nous avions vécu (le travail très prenant de ma compagne, le déménagement, les travaux...), je me voyais mal abandonner ma famille durant quatre jours.

    Après quelques instants de désorientation, j'essaye de me faire un petit programme pour la journée. Petit tour à l'exposition La Très Extraordinaire Expérience du Dr Mes Utopiales 2011Grordbort, de Broadmore, puis un petit passage par la librairie, avant d’atterrir au Bar de Mme Spock. Là, très rapidement je rencontre Flo, des Lyonnes de la SF. Et comme je lui dois une bière depuis presque un an et demi, ça tombe plutôt pas mal. On discute. C'est sympa de se retrouver, comme ça, dans la vraie vie. Et puis, comme Flo commence à être très connue dans le milieu, notre table finit par attirer du monde. Elle me présente à Sébastien Cevey, d'Angle Mort. Je lui dis tout le bien que je pense de cette initiative... Puis Flo retrouve Selene, et elle me présente à elle comme le premier fan des Lyonnes. Je suis touché. On discute. Au détour d'une parole échangée, Flo me dit que Melanie Fazi vient d'arriver. Elle lui fait signe, et Mélanie nous rejoint à notre table. De façon tout à fait naturelle, on s'embrasse comme si on était de vieux amis. Et on discute. Je n'ai jamais lu cette artiste, mais j'ai déjà vu des photos qu'elle poste sur Facebouq. Je lui dis que j'aime ses photos et on parle de ça. On parle aussi de mon interview de Raoul Abdaloff où Raoul nous avait parlé de Mélanie Fazi... Ensuite viennent nous rejoindre à la table Guillaume, le blogueur, et Roland C. Wagner, le futur gagnant du prix des Utopiales. Roland est un homme jovial, et on rigole. On parle de bière, de Métal, et de whisky... Bref, c'est aussi ça les Utopiales.

    Ensuite, puisque mon fils s'est endormi, je peux aller discuter avec des blogueursMes Utopiales 2011 (Karine Lhisbei et Guillaume...), et me faire une conférence (un peu houleuse) sur l'uchronie... 

    19h00, il est temps de partir. Nantes nous réserve une petite surprise : une heure d'embouteillage pour faire à peine dix kilomètres. Les Utopiales 2011 sont déjà loin derrière moi...

    2011 a été l'année de la frustration. J'ai assisté à une seule conférence alors qu'il y avait pléthore de sujets et d'invités qui m'intéressaient (sur le Steampunk notamment, ou bien encore Lucius Shepard). J'ai dû annuler ma participation au repas des blogueurs (j'aurais tant voulu rencontrer Anudar, ou Gromovar, pour n'en citer que deux...). J'aurais bien voulu aussi saluer Etienne Barillier et Laurent Queissy pour leur dire à quel point Le Palais des Déviants, c'est génial. J'aurais bien enfin parlé un peu à Gilles Dumay en vrai. J'aurais tant voulu dire (bredouiller en anglais, plutôt) à Lucius Shepard à quel point Aztechs et La vie en Mes Utopiales 2011temps de guerre sont deux oeuvres géniales. Et j'avais aussi prévu de me faire dédicacer le dernier roman de Xavier Mauméjean, parce que j'avais plein de choses à lui dire.

     

    Parce que c'est aussi ça, les Utopiales.

     

    A.C. de Haenne

    P.S. : les photos (cliquez dessus pour les agrandir) ont été réalisées par mes soins ou, et je tiens à le signaler, par ma fille de 7 ans et demi, Nelle. Je tenais à la remercier, ainsi que ma compagne, Delphine, et notre fils, Elias, pour leur patience pendant cette journée bien chargée.


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