• Broc en stock !

    Comme je vous l'annonçais le 10 août dernier, l'un de mes textes a été retenu par Donner de la voix. Ce blog met en ligne de courtes nouvelles sous forme de lectures que l'on peut très facilement écouter, soit en streaming directement sur le site de Donner de la voix, soit en passant par un agrégateur de style iTunes. Il y a aussi une version PDF...

    Los Trabajadores Invisibles n'est pas à proprement parler une nouvelle "mauvais genres". Cependant, elle me tient vraiment à coeur, notamment à cause du thème qu'elle aborde. Et puis aussi parce que c'est ma toute première publication, et j'en suis très fier !

    Après l'avoir écoutée, n'hésitez surtout pas à revenir ici pour me dire ce que vous en pensez. Vous ne pouvez pas vous imaginer à quel point votre avis m'intéresse.

    A.C. de Haenne

    P.S. :  Champagne ! 


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  • Juste un mini-article pour vous dire que j'ai assisté, hier soir, aux Broc en stock !Papous dans la tête, l'émission animée par Françoise Treussard, et  diffusée habituellement sur France Culture le dimanche de 12h45 à 14h00. Là, comme il n'y avait pas d'enregistrement, c'était juste pour ceux qui, comme moi, avaient fait le déplacement à Pau. Avec pour cadre un magnifique théâtre à l'italienne, la bande des Papous nous ont bien fait rigoler. Comme d'habitude, serais-je tenté de rajouter.

    Si je vous parle de ça, outre pour vous faire partager le plaisir que j'ai ressenti, c'est avant tout parce que cet évènement exceptionnel se déroulait à l'occasion de la deuxième édition de l'aller-retour dans le noir, le nouveau festival du polar de Pau. Cette année, le président du festival n'était autre que Jean-Bernard Pouy, célèbre écrivain de romans noirs, l'inventeur notamment du personnage du Poulpe, mais aussi l'un des piliers de l'émission de France Culture.

    A l'issue de l'émission, tout à fait fortuitement, j'ai croisé Jean-Bernard Pouy dans la rue où il était sorti fumer son clope. On a même pu échanger quelques mots...

    A.C. de Haenne  


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  • A l'issu de la séance durant laquelle on nous a projeté La fiancée de Frankenstein,Broc en stock ! Cyril Jouhanneau, formateur en cinéma, nous a éclairé sur ce qui fait la spécificité des films de monstre, et ce dès les tout débuts du cinéma.

    Selon Cyril Jouhanneau, il existe une analogie entre le cinéma et le monstre. En effet, le cinéma est comme la créature du Professeur Frankenstein. Issu d'éléments inertes, indépendants les uns des autres (images, sons, musiques, scénario, dialogues...), le cinéma est un subtil assemblage qui permet aux images de prendre vie, de s'incarner, de s'animer devant nos yeux ébahis.

    L'une des plus formidables innovations technologiques de la toute fin du XIXème siècle était, au tout début, ignorée par l'élite et cantonnée aux baraques foraines, là où l'on exposait déjà les "monstres" humains. Le cinéma était alors un monstre comme les autres.

    Broc en stock !Puis très vite vinrent des artistes comme Georges Méliès qui s'emparèrent de cet outil formidable pour laisser libre court à leur imagination. A sa suite, ce furent d'abord les européens qui montrèrent des monstres au cinéma. Murnau bien sûr, avec son célèbre Nosferatu (1922), mais aussi Wegener et son Golem (1920), et bien d'autres...

    Quand les américains décidèrent de s'emparer de la figure du monstre pour l'inscrire sur le grand écran, nous sommes au tout début des années 30. Trois figures vont durablement marquer l'imaginaire des spectateurs. Le vampire dans Dracula (1931) de Tod Browning, la créature créée à partir de cadavres dans Frankenstein (1931) puis La fiancée de Frankenstein (1935) de James Whale, et leBroc en stock ! singe géant dans King Kong (1933) de Merian C. Cooper et Ernest B. Shoedsack. Tod Browning revint en 1932 avec un film extraordinaire, Freaks, qui rendait hommage aux "monstres" humains, mais aussi au cinéma des origines, celui des baraques foraines (mais on aura l'occasion d'y revenir...)

    Dans les années 50 arrivèrent sur les écrans des monstres japonais tels que Godzilla (à partir de 1954) ou bien encore Gamera (1965). Ces deux monstres connurent une grande carrière (surtout au Japon il faut bien le dire). Ils sont tous les deux issus de catastrophes nucléaires, ce qui représente le principal traumatisme des japonais depuis la fin de la seconde guerre mondiale.

    Voilà, encore une fois, avec cet article je ne visais pas l'exhaustivité. Simplement, je voulais vous faire partager juste un peu la formidable soirée que j'avais passée jeudi dernier. 

    A.C. de Haenne


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  • Alors que le moulin où il a mené ses expériences a totalement été détruit, le professeur Frankenstein n'aspire plus qu'à une chose : se retirer afin de vivre vraiment avec sa future femme. Mais la créature qu'il a créée n'est pas morte. Elle erre dans les montagne...

    Un soir, Frankenstein reçoit la visite d'un très étrange personnage, le docteur Prétorius qui voudrait reprendre les expériences abandonnées...

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